Le retour !

Aranhel était revenu dans le palais royal, celui là même où il avait grandit. Il restait là, debout, devant le trône de Djaam. Cela faisait un bout de temps que personne ne l’avait vu, il n’avait donné aucun signe de vie, rien, même à ses proches. Il avait entrepris un long et périple voyage, et il avait changé. Son teint était plus pale qu’à l’ordinaire, ses yeux avaient perdu leur éclat, ils ne pétillaient plus. Sa présence jetait presque un froid, c’était étrange ! Il poussa un long et profond soupir avant de se décider à grimper les marches menant au trône, là, il toucha se siège royal du bout des doigts et un fin sourire apparut sur ses lèvres, comme si un souvenir plutôt amusant lui revenait à l’esprit. Il s’assit sur l’accoudoir et regarda les portes, comme s’il attendait quelqu’un.

Alberfith ouvrit les portes de la salle du trônes, quelques secondes après que Aranhel commença à les fixées. Il entra d'un pas plutôt pressez dans la pièce. Sa robe à l'origine blanche était devenu grise à cause de la saleté. il s'arrêta à quelque mètres de l'escalier menant au trône. Il s'agenouilla afin de saluer le prince, ce dernier lui fit signe de se relever. En se relevant lentement en s'aidant de son bâton, alberfith pris la parole.

"Prince Aranhel, je vous trouve enfin!"

Sa voix résonna dans la grande salle marbré, qui était la pièce la plus grande du palais. Les quelques statue représentant les anciens roi de djaam ne suffisait pas a réduire l'écho.

"Avez vous quelques minutes a me consacrer, Prince?"

Le jeune prince eut un petit sourire, mais il semblait triste, il n'éclairait pas son viage comme à son habitude.

- Bon sûr, mon ami !

Aranhel descendit les marches, droit et fier, arrivé au niveau du mage, il posa une main sur son épaule.

- Je vous écoute !

Il fit un geste pour l'inciter à marcher en même temps dans les couloirs du palais. C'était sombre, terriblement lugubre depuis la mort du roi, son père. Il aurait voulu y mettre plus de clarté mais pour l'instant, il n'en avait pas le droit.

Suivant volontiers le prince, alberfith commença à s'exprimer.

"Voila prince, depuis peu je n'arrive plus à m'en sortir, je ne sais plus ce que je dois faire. Je veux équilibré les force pour que la neutralité règne mais je vois que votre frère le prince Elendhal prend de plus en plus d'importance, les nains et les elfes se sont joins à lui, donc logiquement je devrais me joindre a vous pour équilibrer la balance mais je me suis attaché à l'un de vos ennemie. Et il se bat face à une ennemie contre qui il n'est pas encore près. Et de ce fais si je veux l'aider je ne dois pas vous rejoindre. J'aurais besoin de conseil, car je ne sais pas si la vie d'un seul vaut plus que l'avenir d'un monde. Quand pensez vous?"

En attendant la réponse du prince, il remarqua qu'il était dans un long couloir lugubre, ce couloir était sombre, trop sombre.

Aranhel eut un rire amer. Puis, il stoppa brusquement sa progression. Il venait de penser à quelque chose, quelque chose qui lui tenait à coeur.

- Juste par curiosité, qui sont ces personnes dont vous parlez.

Il était intrigué mais en même temps inquiet. S'il s'agissait d'un des siens, il irait se battre à ses cotés, il ne laisserait pas son peuple seul ... encore une fois. Son absence n'avait que trop durée. Il avait voyagé pour apprendre plus, pour chercher, pour grandir ! Il avait changé, mais était-ce vraiment du bon coté ?

Alberfith s'arrêta, se demandant pourquoi il voulait connaitre le nom de la personne. Reprenant sa marche dans les couloirs il répondit au prince.

"Ce ne sont pas des personnes mais une en particulier, Votre ennemie zeritos est menacé par le second du roi des vampire, son esclave pourrait-on dire. Eh je veux l'aider mas si je le fais je en pourrais maintenir l'équlibre des chose."

Ils venaient d'arrivé d'arrivé dans une galerie rempli de portrait, on y retrouver tous les roi et tout les grand homme de Djaam.

(Pas trop inspiré sur ce coup ^^)

Aranhel haussa les épaules et soupira à fendre l'ame.

- Faites ce qui vous semble juste ! Mais ne mettez pas la terre de Djaam en péril !

Il stoppa nette sa progression, s'arrêtant juste en face du portrait de son père, de chaque coté, il y avait deux garçons, des jumaux, lui et son frère.

- Sinon, priez les Dieu pour que je ne vous retrouve pas !

Puis il tourna les talons aussi vite qu'il s'était arrêté.

- Je dois me rendre en terre de Réor !

-Au revoir prince.

Eraly était rentrée de sa ballade à travers les collines seule. Aranhel l'avait abandonné. Elle ne sut pas qui de Elendhal ou Aranhel était le plus cruel, en ces moments là.
Une fois arrivée au Palais, elle était partie se changer, et était passée devant une salle d'où lui parvenit la voix de son frère, Aranhel. Elle entra et le vit en compagnie d'une autre personne qu'elle avait déjà vu.

" ARANHEL !! TU AURAIS PU ME DIRE QUE TU ETAIS REVENU !!! Espèce d'idiot ! " dit la Princesse en se rapprochant et le serrant dans ses bras.

Aranhel eut un demi sourire et serra sa soeur dans ses bras.

- Désolée Eraly ! Mais j'avais quelque chose à faire.

Il caressa doucement ses cheveux et l'embrassa sur le sommet de la tête.

- Je reviens bientôt, je dois voir Elendhal, dit-il d'une voix absente.

Eraly regarda son frère. Puis, les yeux pleins de larmes, elle éclata :

" Encore cette fichue guerre ! A quoi joues-tu ? A qui penses-tu ? Pas à toutes ces femmes qui vont perdre leurs maris et leurs fils ! Pas à tous ceux qui n'auront plus de famille. Penses-tu à moi ? Je n'ai pas très envie d'avoir un frère mort. Je n'ai pas très envie de voir mes frères fâchés, et de voir un cadavre sous mes yeux. Parfois, je me demande ce qui te passe par la tête. "

Les larmes dévalèrent les joues d'Eraly qui s'enfuit en courant dans le couloir.

Aranhel ne bougea pas de sa place, il avait le regard lointain.

- Que veux-tu que je fasse ? Et puis, ce n'est qu'une simple visite, j'ai envie de voir mon frère, c'est tout !

Elle tourna la tête vers la direction qu'avait pris Eraly. Il était sur qu'elle l'avait entendu. Sa voix résonait dans les couloirs du palais, vide.

- Ce qui me passe par la tête, il eut un petit rire jaune, je me le demande aussi. Sois présente à la cérémonie, et tu ne verras pas de cadavre.

*Pour l'instant ... *

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