lame élfique

Zeritos été maintenant vampire depuis un ans, il avait vu de coi il été capable, et connaissait maintenant par cœur la forteresse.
Il été temps pour lui de s'équiper correctement. Il disposai toujours de son armes d'elfe. Il ne savais rien de cette arme, sinon que sa lumière bleu scintillante l'affaiblissais. Il venait au aujourd'hui a l'armurerie pour la changer.

" Ya quelqun ici?"
demanda t'il a voie haute
"si un armurier prouvai venir avent le jours, ce serai sympa."

Elanor explorait la forteresse du Prince Elendhal, découvrant à chaque fois des choses nouvelles, qu'elle n'avait encore jamais vu. Ce prince lui avait permis de se déplacer comme bon lui voulait, c'est ce qu'elle faisait. Cependant, elle se demandait bien pourquoi l'attitude du prince avait soudainement changé, elle s'était presque retrouvé devant une autre personne et ca la perturbait.

Finalement, la jeune prêtresse arriva à ce qui semblait être l'armurerie de la forteresse. Elle ne s'y connaissait pas mais reconnaissait certaines armes, nottament celle de son peuple.
Lorsqu'elle entendit une voix, elle se retourna pour se retrouva face à un homme.

- Désolée, je ne peux pas vous aider. Je ne suis pas spécialiste en la matière, dit-elle avant de reposer à nouveau ses yeux sur les armes.

"Ho c'est pas possible, il n'y a pas d'armurier dans l'armurerie. Non mais quel organisation je vous jure, fau que j'aille en territoir ennemi moi ! et je me balade avec une épé qui m'affaibli dé que je la sort. Regardez."
Il sorti son épé, elle été fine, longue, et brillai d'une lumierre bleux.
"la lumierre m'affaiblie...je sui vampire moi. Voudriez vous me l'acheter?"

Elendahl se décida à surgire. Il passait des les couloirs et avait capté quelques bribes de conversation. Il entra et péta sa royale crise :

" Hééééééé !!! C'est qui le monsieur ??? IL EST CHEZ MOI ! C'EST MA FORTERESSE ! LA MIEEEEENNE ! QUI L'A INVITEEE ??? "
Il pietina rageusement le sol. Puis se redressa, les nerf défoulés.

" Pour votre gouverne, le responsable de cette armurerie à été condamné pour... QUOI DEJA ??? "

Sa voix traversa les murs et une faible réponse lui parvint des cachots situés presque à l'oposé : "trace suspecte de bave sur l'arme du prince" . Elendhal fit une mit scandalisée.

" Oui. Il a bavé sur mon épée royale de ma royale personne. Il mérite la mort. Pour sa condamnation, il sera offert... bref passons... Faut pas dévoiler le suspens ! "

Le prince prit l'épée du vampire dans ses deux mains. Un peu gamin, mais pas stupide. Toute les lames de cette terre, il les connaissait pas coeur, leur particularité, leur mode d'entretien... Il reconnut la lame après examination.

" Vampire... Elle t'affaiblit c'est normal. C'est une longue histoire... "

Heureux de pouvoir étaler sa science, il se lança dans un récit.

" Il y a longtemps, chez les elfes, il y eu des individus dans la population touchés par des maux inexpliqués. Il s'agissait juste d'un vampire timbré et sadique qui s'amusait à machouiller tout le monde ! Ne croyez pas les légendes elfes qui racontent des histoires de colère des dieux, c'est des conneries ! Et pour vaincre ce mal, il firent appel aux elfes forgerons, peuple qui a disparut aujourd'hui car il a trop été confondu avec les efles de la foret. Les elfes forgerons trouvèrent une pierre. Un genre de cailloux magnétique qui réagit à distance avec le fer du sang. Ca n'a d'effets que sur ceux qui ont un exces de fer, ceux qui boivent du sang, donc les vampires. Les elfes de la foret et les elfes forgerons introduirent cette pierre dans leurs alliages pour les armes. Ils pensaient qu'ainsi, ils pourraient chasser de meilleur manière les vampires et les tuer. Et ils avaient raison. Ils tombèrent presques tous comme des mouches. "

Joli schéma réalisé par le prince avec ses mains... " Bizzzz !!!! PAAAF ! "

" Cette pierre recouvrait les batiments, les mecanismes, les armes... Il y en avait partout ! D'où cette couleur bleue... Mais elle était bien plus dense dans les épées d'autrefois que sur la votre. Sinon vous seriez déjà mort. "

Il lui annonça ceci comme s'il présentait la météo... Puis il lui fit un joli sourire.

" Vous voulez rester ici ? Une arme naine vous irai très bien ! A cause de leur légèrté il faut apprendre à les maniers, mais vous vous y ferz très vite... "

( HJ : Dsl pour la longeure du post... mdr. Je me suis défoulée ! WAAAYYYYAA !!! Ca fait du bien !!! ^^ )

( Oo ... c'est ... surprenant XD )

Elanor regardait le prince avec un air vraiment interloqué. Comment savait-il tous ca ? Etonnant pour un humain, mais bon, elle ne montra pas trop son "admiration" et détourna le regard en croisant les bras.

- Je suis suprise de votre culture elfique, dit-elle d'un ton neutre.

Ses yeux se posèrent alors sur l'arme qui brillait légèrement d'une lumière bleuté. Mais une question se posait dans sa tête, comment un vampire pouvait-il posséder une épée elfique. Soit il l'avait volée, soit il était un elfe avant de se faire mordre lui même par un vampire.

Elle soupira doucement et reporta son attention sur le prince. Il occupait énormement ses pensées en ce moment et le doute s'insinuait en elle. Elle le trouvait capricieux belliqueux et tout ce qui s'en suit mais en même temps elle ne savait plus quoi penser. Tout a l'heure elle s'était retouvée presque face à une autre personne. Sentant que son regard devenait un peu trop insistant, elle baissa la tête, gênée. Jamais elle n'avait agi de cette façon auparavent.

" J'ai toujours été le meilleur eleve que la haute école des armes de Celebrim n'avait jamais eu... "

Il l'observa avec un sourire. Et n'ajouta rien. La dévisageant juste,elle, génée devant lui.

Elanor avait relevé la tête quand il avait mentionné sa cité. Il avait bien dit ... Celebrim !

- Vous ...v-vous avez été à Celebrim ? demanda t-elle en plongeant son regard dans le sien.

Elle avait vécu dans cette cité toute sa vie et elle ne l'avait jamais croisé, du moins, elle ne s'en souvenait pas.

" J'y ai passé un an, juste avant sa destruction... "

Il repassa au silence.

" Je fréquentais la haute école royale... C'est normal. "

Il la sentais déroutée... Il saisit ses mains et les attira contre lui.

" Je... "

Il les lacha et se recula.

" Pardonnez-moi... "

Elanor n'y comprenait plus rien, cela sevoyait sur son visage. Désormais, elle ne cherchait plus à masquer ses emotions.

- Pourquoi vous excusez-vous ? demanda t-elle troublée.

Elle n'avait pas bougé d'un cil.

" Parce que je n'aurai pas du faire ça... "

Il marqua une pause et hésita.

" Je n'aurai jamais du faire ça... "

Il trembla.

Elanor en le voyant ainsi ne réfléchit pas une seconde. D'ailleurs, elle ne savait même pas ce qu'elle faisait, car ca sortait tout seul, c'était son instinct qui la guidait. Elle s'éfondra alors à genoux devant lui, la tête baissée, la voix nouée.

- Je suis désolée. Je sème le trouble en vous et je ne vous apporte rien de bon. Je partirais aux aurores demain, je ne vous gênerai plus.

Elle baissa un peu plus la tête, le front se rapprochant de plus en plus du sol.

- Sincèrement je suis désolée ...dit-elle en fermant les yeux.

" Non ! "

Il se mit à genoux à son tour. Face à elle. Il lui prit le visage dans les mains.

" Ne pars pas... Je... Je... J'ai b... Je t'..."

Il bafouilla un moment... Puis respira et déclara :

" Je voudrais que tu mène mes citoyens vers le sanctuaire d'Ephyris pour les guider. "

Pendant un instant, elle avait sentit son coeur se serrer puis finalement, il s'était brisé. Elle avait relevé la tête, avec un petit espoir puis plus rien. D'ailleurs pourquoi elle ressentait cela, elle ne le voulait pas. Mais en même temps, elle ne pouvait aller contre son coeur.

Après sa demande, elle baissa de nouveau la tête reprenant un masque de marbre.

- Comme vous voudrez, dit-elle d'une voix neutre.

" Merci... "

Il se releva sans un mot de plus, ses mains agitées, ses ongles s'enfonçant cruellment dasn sa peau.

Il tendit le bras devant lui , carressant la douceur de son vêtement et ne la retenant qe d'un pincement leger sur la pointe du tissus de sa manche. Il l'attira lentement, sa bras entourant et son main emprisonnant sa taille. Il la serra fort sans cesser d'arborer un regard froid et de la fixer sans ciller. Ses paupières se refermèrent juste à un seul instant qui lui sembla durer une éternitée, une eternité trop courte à son gout, quand il l'embrassa violemment.

Puis il la lacha, presque comme si elle lui avait brulé les doigts, les lèvres...

" Je... " tenta-t-il de s'expliquer.

Mais il ne put rien dire de plus et partit vers la porte d'un pas préssé.

Elanor avait peur à cet instant, son regard froid et insensible l'avait effrayé. Elle s'était laissée faire malgré tout, pourquoi ? Elle ne le savait pas. Mais elle ne s'attendait pas à ce qu'il l'embrasse, non ! Et puis, pas de cette manière, c'était de la violence, de la hargne. Mais elle n'avait pas bougé. Elle n'avait même pas pris le temps de fermer les yeux.

Mais tout se termina quand il s'éloigna brusquement d'elle. Ca lui faisait encore plus mal. Et quand il s'éloigna, elle le suivit des yeux, une étincelle de peine brillant au fond de ses yeux. Dans le silence, on pouvait entendre la pluie s'abattre avec force sur le toit de la forteresse. Elanor enroula ses bras autour d'elle, pas rassurée, regardant le prince s'éloigner petit à petit. Puis,un coup de tonnère survint et Elanor sans réfléchir tendit le bras, saisit la chemise du prince et se blottit contre son dos en tremblant.

- Ne me laisse pas, dit-elle si bas qu'il pouvait très bien ne pas l'avoir entendu.

De plus, elle n'avait pas soulevé qu'elle l'avait soudainement tutoyé. Elle voulait juste ne pas rester seule, avec l'orage. Non, pas toute seule.

Elendhal frissonna de la sentir si proche. Il se retourna et entoura son bras contre elle, la demoiselle contre lui. Il ne réagit tout d'abord pas. Puis il ferma les yeux et se laissa céder malgré tout son être qui lui criait de ne rien faire. Il la serra contre lui sans aucune couleur sur le visage, comme si elle lui avait enlevé toute sa force et sa vie.

" Je ne te laisserai pas... Pas une seconde... "

Il saisit à nouveau son visage avec butalité et appuya ses lèvres sur les siennes encore plus fort. Il l'embrassa sans arrête durant de longues minutes.

Elendhal carressa sa taille d'une main dure et aggressive pour sa peau. Il se sentais si faible... Tout était diférent à cet instant... Dans ses bras... A elle... Il vivait et mourrait à la fois, il ne savait pas trop.

Il ne quitta ses lèvres que quelques instants après et murmura tout bas :

" M'aimes tu ? "

Celà lui remit les pieds sur terre. Elle ne savait que répondre à cette question, elle ne savait plus quoi penser. Elle n'était pas une de ses filles qui cherchaient à séduire quelqu'un de haut rang. Elle n'était pas une femme qui couchaient avec n'importe qui. Non il était sincère, fière et sensible. Elle avait un coeur, mais quelqu'un le lui avait volé. Il avait beau être agressif et brutal, elle s'en foutait, après tout, en amour comme en art, la délicatesse est la vertu des faibles.

Alors Ely s'écarta légèrement d'Elendhal pour mieux le regarder. Il n'y avait rien à dire, tout se lisait dans son regard. il y avait une étincelle de détermination, certes, mais au fond, il y avait la réponse que cherchait le Prince : Oui !

Elanor savait qu'en l'aimant elle risquait d'avoir surement des moments de solitude et de peine. Il avait certainement mieux à faire qu'à batifoler avec une femme. Mais elle n'y pouvait rien, c'était son coeur qui dictait sa conduite et elle le suivait aveuglement.

Ha, l'amour est un tyran qui n'épargne personne.

Puis Elanor baissa un nouveau la tête.

- Puis-je te retourner la question ? demanda t-elle d'une voix faible.

" Non... Je ne peux y répondre. Mais toi, dis moi... "

Il la fixa d'un regard si triste, implorant. Par pitié, pitié ! Qu'elle lui dise ! Si elle répondait non, il serai sauvé du démon qui le hantait... C'est ce qu'il désirait.

Ely releva la tête un peu indécise. Finalement, elle se blottit contre son torse, posant sa tête contre son épaule.

- Je t'aime, dit-elle en fermant les yeux, attendant avec inquiètude la réponse du prince.