début du voyage!!

Cela faisait deux jours que Varvain avait quittée ses parents. Elle était heureuse de pourvoir volée de ses propres ailes. Elle venait d'arriver dans une ville qui devait s'appelait Shâyol, enfin ce qui est marqué sur sa carte qui était dans son sac. Tiens d'ailleurs dans son sac, il y avait quoi? Hé bien il y a quelques provisions, une carte, du papier, de l'encre et une plume ça c'étiat le cadeau de sa mère qui voulait qu'elle lui écrive tous les 2 jours. Elle avait aussi une petite colombe qui faisait les allers-restours en l'île des fées et l'endroit où se trouvait Varvain mais cette dernière avait décidé qu'au bout de quelques moi elle arrêterait définitivement d'envoyer sa colombe faire des allers-retours et qu'elle finirait son chemin seule. D'autant plus qu'elle savait parlait avec les animaux alors elle trouverait facilement de la compagnie.

Mais bon, pour le moment il fallait trouver un endroit traquille pas loin de Shâyol pour manger un peu. Elle quitta la route, et alla derrirèe trois maisonnettes, et s'installa sur une pière plate. Elle ouvrit son sac et pris une pomme qu'elle croqua sans tarder. Cela faisait plus d'une journée qu'elle n'avait aps manger pour avancer dans son parcours ....

Erramir marchait en silence. Il portait une cape dont la capuche était rejettée sur son visage et ne dévoilait que son menton, sa bouche et le bout de son nez. Il se sentais fiévreux. Il se rappellait de son pays, dominé à présent par les puissances du mal, il avait pris la mer pour attaquer l'ennemi de l'océan. Cependant le navire avait essuyé les pires déchainement des cieux et ils avaient fait naufrage. Quand il avait repris connaissance, il était sur les terres de Djaam, sur un plage déserte où les crabes avaient tant taquinés ses doigts de leurs pinces pendant son inconscience, qu'il avait garder les traces sanglantes de leur passage.
Il toussa. C'est que le ciel orageux recommençait à darder ses larmes sur la terre boueuse et que le vent sauvage de l'ouest vennait le glacer de son souffle jusqu'aux os.

* Quel sale temps... *

Au fond de lui, il avait esperé trouver un moyen de retourner chez lui. Il avait été au port elfe le plus proche et avait demandé comment se rendre sur les terres de tyela. Mais personne ne connaisait ce monde fort lointain et on l'avais chassé comme un vulgaire paysan. Lui ! Le général des armées de la princesse Ariana ! Comme un vulgaire paysan...

Ses cheveux s'étaient emmélés au flux et reflux des vagues qui l'avaient bercées, Ses yeux étaient vides et ses joues maculées de terre et il se sentais sale comme il ne l'avait jamais été. Mais il n'avait pas d'argent qui soit valable en terre de Djaam. Il n'avait rien a manger, rien à échanger. Juste son habit, qui aussi riche soit-il n'était plus qu'un dégoutant labeau grisâtre. Mais il ne pouvait rien faire pour se sortir de cette situation.

Il croisa une demoiselle dans la rue. Elle regardait autour d'elle et s'appercevait que le pluie devenait torentielle. Une pomme à la bouche... Il attarda ses yeux sur cette pomme et refusa de penser à cet instant. Il détourna le regard. Elle n'avait rien remarquer, aussi, il passa son chemin. Mais soudain il se retourna vivement.

Elle avait des ailes... Cette femme avait des ailes...

Varvain avait fini de manger et maintenan elle se promenait dans les rues de Shâyol, une pomme à la main. Elle regardait autour, les yeux remplis de nouvelles images qu'il fallait absolument retenir car elle ne repasserai probablement plus jamais dans ce village.

Soudain elle vit arriver devant elle un homme avec une cape, en suposant que c'était un homme car on ne voyait que son menton et sa bouche. Cet homme était grand et mystérieux. Le mystère ne plaisait pas trop à Varvain, c'est pourquoi elle se montrait avec ses ailes de fée -qu'elle ne pouvait guère cachées- même si certaines fois les villageois de certains village n'amait pas beaucoup les fées. Elle avait était parfois rejetée mais n'avait jamais fait de mal.
Bref pour revenir à cet homme mystérieux qu'elle croisa puisqu'il avançait vers elle. Il avait regarder sa pomme mais elle ne fit rien, peut être avait-il seulement faim se disait-elle.

La pluie s'intensifia de plus belle et Varvain commençait à être vraiment mouillé par l'eau, elle avait froid aussi mais lle ne le fisait pas voir. Elle irai se mettre à l'abri dans peu de temps et attendrai que cet orage passe.

Elle éternua d'un petit son aigu, elle n'avait pas de cape, il fallait donc à tout pris qu'elle s'en procure une.
Elle se retourna pour voir si il y aurait un marchand ... et remarqua aussitôt que le jeune inconnu la regardait.

je rep plus tard dsl

(pourquoi bouhhh j'étais a fond dedans en plus)

Erramir sentis le regard de la fée se poser sur lui. Il en frémit.

Une fée...

Il avait beaucoup voyagé avec la guerre qu'il avait mené. Parcouru des plaines arides, des forêts humides, des tropics orageux... Mais jamais il n'avait croisé de fée. Il en resta bouche bée. Lui, il avait un respect immense pour toutes ces créatures si pures et celle ci lui ravit le coeur.

Cependant, il ne voulait pas l'importuner en posant ses yeux d'humain meurtri et sali sur elle, si belle, si pure...

Il tourna le dos et commença à s'éloigner.

L'homme venait de se retourner et continuait son parcours. Varvain se dit qu'elle ne le reverrait probablement jamais. Pourtant, elle aurait aimé le revoir, malgré qu'il soit si mystérieux, il vait quelqu chose de bienvaillant.
Mais malheureusement il s'en allait.

Soudain Varvain sentit quelue chose de Froid et de gluant coulé sur elle.

"Va t'en! Pars de ce village! Tu va nous approtaient malheureux!" C'était un des villageois qui venait de jeter un seau rempli de boue sur Varvain.

La pauvre était couverte de boue, ses ailesne pouvait plus bougeait, et donc elle ne pouvait plus s'envolait. Le villageois s'approcha d'elle en levant vivement le bras, près à la frappait...

Erramir sentis son sang faire le tour de son corps en une fraction de seconde. Il bouillonnait de toute part de lui.

Il bondit devant la fée, épée à la main. Il se prit le coup à sa place. Une mauvaise entaille resta gravée dans sa chaire.

" Laisse là... Ou je t'empale vivant... Souffla Erramir, les dents grinçantes, prêt à mettre sa menace à exécution.
- Elle apportera le malheur à mon village ! Hurla l'homme en désignant la fée du doigt.
- Ouais !!!" Renchérirent d'autres personnes pas très loin en s'approchant, fourches à la main.

Vanaark se dressa de toute sa hauteur. Ce qu'il haïssait la guerre...

Varvain ne l'avait pas vu venir. Mais tès vite elle comprit la situation. Les gens du villages ommencaient à les entouraient. Elle se dégagea les ailes -en les frottant l'une contre l'autre- le plus vite possible, pris l'homme par les épaules et s'envola avec le jeune homme aux bouts des doigts. Les gens essaient de les attrapaient mais ils étaient montaient trop haut pour eux.

Varvain sortit du village avec l'homme, redescendit sur terre, en le déposant délicatement. Les villageois n'avaient pas vus dans quelle direction les intrus étaient partis, ils repartirent donc tous à laeurs tâches.

Varvain commença par dire:
- Merci, je n'aurai pas pu m'en sortir sans toi.

Erramir n'avait pas beaucoup apprécier ce baptème de l'air. Agiter inutilement les pieds dans le vide n'était pas trop son truc. Il regarda la fée.

" Ho si... Vous auriez pu ! Vous vous seriez envolée bien vite et ils n'auraient plus entendu parler de vous. "

Il regarda le ciel qui continuait à pleurer sur le terre. Il était si gris...

" Où allez-vous comme cela mademoiselle ? "

"- Hé bien je vais vers le Royaume d'Andar. Et vous, mon cher?"

*Quel malpoli! il aurait pu dire merci! ça m'apprendra à vouloir sauver tout le monde!* pensa-t-elle.

" Nulle part... Puisque mon royaume est inaccessible d'ici... "

Il leva le regard vers l'horizon. Au loin, l'océan si grand si gris, secoués de vagues sauvages et déchainées. Quel genre de force cruelle l'avais arrimé à cette terre et l'y avais condamné ? Il sembla bien lointain durant quelques instants.

Et on devait se battre, sur les terres de Tyela. Il avait déjà perdu bien des hommes... Bien des amis... Bien des frères... Et en ce moment, ceux qui restaient se fesaient massacrer. Si au moins il avait pu rester à leur coté et mourire ensemble. Mais non. Il était condamné à la savoir aux portes de la mort, sans rien pouvoir faire, sans rien pouvoir dire. Et sans même pouvoir hurler son désarroi au monde entier.

Le jeune homme avait le regarde lointain. Il pensait visilement à autre chose, qui ne devait pas être beau à voir.

"-Quelque chose ne va pas, demanda-t-elle, vous avez besoin de quelque chose."

*ta bonté te perdera Varvain!*

Il eut un faible sourire et son regard se perdit sur le chemin boueux. Rien que des visages qui se ressassaient toujours dans son esprit. Il eut une faiblesse et toussa fortement.

" Oui... Tout vas très mal... Mais ce n'est plus de mon ressort... Il n'ya plus rien à faire... "

Une larme carressa sa joue mais il la cacha. Pas question de se laisser choire. Il devait rester debout... Rien n'était fini même s'il était impuissant à cette guerre atroce.

"-ça commence à faire beaucoup là!" dit-elled'une voix vexée.

Deux questions sans aucune réponse. Varvain adorait aideer les gens mais elle detstait qu'on le lui répondent pas. Sa regard se durcit.

Erramir eut un faible sourire toujours. Il tourna le dos à la fée. Il avait bien vu qu'il lui déplaisait et un tel regard sur une jolie figure, il ne l'acceptait pas. Harrassé d'être la cause de cet insulte, il préférait partir, s'éloigner. Rien que le fait de poser ses yeux sur elle avait déjà été de trop.

"Adieu..."

Il partit un peu plus loin. Une demi douzaine de chevaux patientaient à l'entrée d'une auberge. Il observa les bêtes... C'est qu'en monture, il avait un oeil connaisseur. Oui, il comptait bien en voler un, ce n'était pas dans ses prérogatives mais bon... On fait comme on peut dans la vie !!!

Le voyant partir Varvain entendit sortir de sa propre bouche:

"-Attendez ne partez pas! Je suis désolée!"

Elle était surprise de ce qu'elle venait de dire mais espérait faire revenir le jeune homme. Il devait éprouvait une grande solitude, du moins c'est ce qu'avai resentit Varvain étant donné qu'elle était téléphate, elle avait aussi le don d'ampathie (ressentir ce que ressente ls autres). Or elle avait sentit une grande tristesse venant de ce bel inconnu. Et elle aurait amé le connaître.

Mais Erramir était déjà en selle. Et un homme quittait déjà l'auberge en gueulant qu'on chope ce voleur sur son cheval. Vanaark lança sa monture au galop, attrapa la fée par la taille et la tin contre lui alors qu'il s'éloignait à grandes foulées vers la forêt d'Odrian.

( direction forêt )