A la recherche de ....

Varvain marchait doucement quand tout à coup elle vit un homme prendre la bourse d'un veillard juste devant ses yeux, elle fit un bong sans penser qu'elle avait une cape, elle courut après l'homme. Elle courait vite, de plus en plus vite. Elle arriva vite à sa hauteur et fit un bond, lui tomba dessus et pris la bourse volée. Elle se releva en tenant bien le vagbond et alla redonner la bourse au veillard. Lorsqu'elle se retourna vers l'homme, il avait une capuche qu'elle eut rapidement enlevée pour voir le vleur qu'elle venait de surprendre...

Elle fut très surprise de voir...
(J'attend quelqu'un pour venir avec moi, n'importe qui... merci! )

Qu'il ne s'agissait que d'un simple gueux dont le regard affolé cherchait quelques issues. Ce qui avait, par contre, dû la marquer, c'est qu'à ce gueux, il manquait un oeil.

Un cavalier passa à proximité et arrêta sa monture près de la fée. C'était un grand cheval bai foncé surmonté d'un cavalier plus imposant encore. Il était tout de noir vêtu et son visage était dissimulé par l'ombre d'un grand capuchon, on ne pouvait pas deviner ses traits, ni savoir que ceux-ci étaient cachés par un masque de fer.

L'homme observa la fée qui avait arrêté le voleur, puis le voleur.

Erâan songea que ce fut quelque pauvre paysan n'ayant pas assez pour nourrir sa famille mais il changea bien vite d'opinion en voyant l'homme sortir un poignard et s'appreter à le planter dans le dos de la fée.
Presque instantanement, le prince sortit une épée d'une blancheur éclatante et trancha la main du voleur avant que celui-ci n'ai pu atteindre la dame.
Il rangea juste après son épée et, sans un mot, continua son chemin, laissant derrière lui la femme et le voleur maintenant manchot en plus d'être borgne.

Varvain eut à peine le temps de comprendre ce qui se passait, elle lacha l'homme, qui avait voulu la poignardée, dans la boue (sans le faire exprès) et parti comme pour suivre le cavalier, c'est alors qu'elle enleva sa cape, qui dissimulée ses ailles, et s'envola pour le rattraper. Elle se posa juste devant le cheval qui se braqua face à elle. Varvain regarda le cavalier et dit:

- Je voulais juste vous remercié étranger, mais vous êtes parti bien vite, je n'ai donc pas eut le temps de le faire.

Elle caressa la tête du cheval qui s'était calmé.

C'était rare pour un cheval aussi nerveux d'être calme. Ce détail interpella Erâan. Il hocha pensivement de la tête en observant la femme ou plutôt, la fée...
C'était la première fois qu'il voyait une telle créature et il n'était surement pas le seul : tous les regards s'étaient tournés vers eux.

- Il n'y a pas de quoi, répondit l'homme.

Sa voix était grave, on ne savait pourquoi.
Le prince observa encore la fée puis, jugea que de tels êtres couraient des risques en restant ainsi à découvert dans un village, il se pencha vers elle et murmura :

- Madame, sans vouloir vous oportuner, je vous conseil de ne point vous atarder trop longtemps en ces lieux...

D'un signe de tête, il montra les villageois qui étaient déja en train de murmurer en désignant la fée.

(je dois y aller, @+)

- Mon cher, pourquoi croyez- vous que j'avais une cape noire. Si je l'ai enlevée, c'était pour vous rattrapé, ni plus, ni moins. Et d'ailleurs je ne compte pas m'attarder ici pour le simple et bonne raison que je n'ai rien à faire ici.

Varvain sentait les regards se posaient sur elle, elle sentait aussi la colère des villageois montée, elle regarda autour d'elle, et vit que les mères des familles emmenait les enfants dans les maisons pendant que les pères allés sans doute chercher les fourches et/ou les épées, histoire de lui faire voir qu'elle n'étais pas la bienvenue.

Elle regarda le mystérieux cavalier et lui chuchota:

- Je vous remercie encore, mais je pense que je vais m'eclipsée.

Elle commença à s'envolée:

- Si vous voulait faire connaissance suivait moi, enfin si vous y arrivé.

Elle monta droit vers le ciel, regarda autour d'elle et pris la direction du Sud.

(HS: je te laisse faire la suite soit ici, soit ailleurs @+)

(ici parce que g pas bcp de temps)

Erâan hésita pendant un court instant puis, jugeant qu'il n'avait pas eut de compagnie depuis longtemps, il décida de suivre la fée.
Le cheval se cabra et il partit au galop, fendant la foule.

(je te laisse le choix de la destination, après tout, je te suis ^^)

(HS: Soit! alors la suite se trouve au bord du fleuve Téméris à très vite)