La cérémonie de la nuit sans étoiles et sans lune.

Elendhal ne ressembla jamais autant à un gamin. Ses grands yeux ouverts par l'inquiétude, sa bouche légerement entortillée... Il vit Elanor partir du coté où la jeune princesse avait déisparu.

Il se doutait ben qu'elles auraient une petite conversation. Le prince pensa soudainement qu'il était temps de régler une certaine chose... Il attendrait qu'elle revienne, et il... Il lui demanderait sa main. Oui, il l'aimait. Il avait finit par se l'avouer. Bon, il est vrai qu'il avait filé ses nuits avec de multiples créatures depuis qu'elle l'avait quitté mais cependant, il concidérait qu'avec elle s'était différent. Le charnel n'avait plus rien à voir là dedans, c'était bien supérieur. Et il ne pouvait donc même pas concevoir qu'elle puisse lui reprocher une telle conduite.

Il regarda les symboles... Son sang. Il passa ses doigts sur les traces rouges fraiches. Ses doigts furent teintés, il les leva alors à lui. Du sang d'elfe. Du sans d'immortelle... Pouvait-il aimer une elfe ? Cela serait-il permit ? Pourrait-il aimer la grande prêtresse d'Ephyris ? Celle qui avait fait voeux de chasteté, chose pourtant, qu'il lui avait déjà dérobée ? Il le croyait oui. Peut-être était-ce du à sa conviction de tout pouvoir faire en tant que prince ? Peu importe. Il voulait Elanor. Il ne voulait plus qu'elle. Et il lui demanderait sa main pour faire d'elle la reine de Rhéor.

Eraly pleurait tranquillement dans son coin quand cette pimbêche de prêtresse vint à sa rencontre.

" Je ne te hais point, mais, c'est juste que je sors de passes difficiles, et de voir mon frère fricoter avec une " religieuse ", c'est trop pour moi. J'ai perdu mon amour, j'ai perdu ma vie. Il est temps que cela cesse. Elendhal n'a jamais été là pour moi quand nos parents sont morts. Il n'y a qu'Aranhel qui a su s'occuper de moi comme il faut, tout en vacquant à ses occupations. Qu'il fasse une tonne de gamin si ça l'intéresse, de toute façon, ils seront maudits. "

Elle tourna la tête vers la prêtresse, et la renfouit dans ses genoux. Elle aurait aimé être seule, mais parler avec quelqu'un la rassurait un peu. Elle en avait eu besoin. Elle qui avait toujours été seule, elle qui devait toujorus se débrouiller, elle qui était la mal-aimée ! Eraly avait déidé de passer l'éponge dessus, mais, voir son frère enlacée à une femme avait ravivé ce souvenir, enfouit si loin !

" Désolée de pleurer devant vous. J'espère que vous comprenez. Je suis aussi désolée pour tout à l'heure. Je ne suis jamais dans ma plus grande forme quand je suis en colère. Mais, si Elendhal me pardonnerait mes fautes, je lui pardonnerai celles qu'il a commise... "

Encore une fois, la prêtresse eut un pincement au cœur, elle s’approcha de la Prince et se mit à genoux, en face d’elle, mais à une certaine distance.

- Vous maudissez sa descendance … En tout cas, ce n’est pas avec moi qu’il en aura. De ce coté là, c’est impossible, je n’en aurais jamais.

La prêtresse elfe tendit un mouchoir en soie blanche à la jeune fille pour qu’elle sèche ses larmes. Dans ce temple, sur la terre de Djaam, personne ne devait être triste. La guerre avait causé bien trop de malheur, il fallait que tous cela cesse et Elanor ne voulait pas être le sujet des larmes de cette jeune fille, bien qu’elle l’ait blessée tout à l’heure. Elle entendit des bruits de pas résonner dans le silence monacal du temple.

******************

Aranhel venait d’arriver en terre de Djaam, terre neutre, terre royale. Il montait les marches du Grand Temple en vue de parler à la prêtresse, la prévenir de sa venue. Et, ce n’est pas elle qu’il vit, à sa plus grande surprise. Une idée lui traversa l’esprit, une idée qui fit naitre un sourire amusé sur ses lèvres.

Il s’approcha lentement, ses pas résonnaient mais son frère ne semblait pas s’en rendre compte, fasciné par le sang sur ses doigts.

- Tu t’es reconverti … aurais-tu fait vœux de chasteté, mon frère ?

Deux corbeaux entrèrent soudainement dans le temple pour aller se poser sur des statues. Ils observèrent un instant les personnes présentes jusqu'à ce que des bruits de pas se firent entendre...
Cassiopée entra dans le temple, d'une démarche légère donnant l'impression qu'elle ne touchait pas le sol. Si elle était venu ici ce n'était pas pour vénérer les Dieux protecteurs de Djaam, elle n'y croyait pas. Mais c'était pour rencontrer les deux princes prétendants au trône.

La Princesse des royaumes perdus de Gwathkemen savait qu'ici elle pourrait voir les deux. Un seul l'interessait dans sa quète mais elle ne savait point encore lequel.
Elle s'arrêta finalement quelques mètres après avoir franchit la porte, la tête haute et le maintien noble.
Tout en elle refletait la fierté et le mystère. Le même que celui qui enveloppe le pays des ombres.
Et là... ses yeux opales se posèrent sur les deux princes. Bientôt elle saurait lequel était le bon.

Enlendhal en avait sa claque de toute cette mascarade. Alors qu'une nouvelle personne perturbait l'ordre, il se claqua la main sur le front et dépassa les deux filles en train de se battre pour s'avancer vers la nouvelle venue.

- Puis-je vous aider ? Proposa-t-il l'air plus que las.

La jeune femme jugea l'homme un moment. Il était richement vêtu, il s'agissait de l'un des deux princes...
Elle se décida à lui répondre.

- Peut-être... je cherche les deux princes prétendant au trône de Djaam.

La princesse fixa Elendhal de ses yeux d'opale. Elle avait le même visage qu'une créature qu'il avait connu. Une certaine Alycleia qu'il avait rebaptisé Cassiopée avant de la souiller et de la tuer.
Mais cette jeune femme était plus belle et le maintien bien plus noble que la première. Il ne s'agissait pas d'une mutante mais d'une magicienne. Ce n'était pas une voleuse mais une prêtresse.

- Pouvez-vous me mener à eux ? continua-t-elle d'une voix douceureuse.

Il haussa les épaules en scrutant son visage.

- Je suis le prince Elendhal.

Il remarqua une chose. Il avait l'impression d'avoir déjà vu cette femme. Elle avait un air qui lui rappelais un vague souvenir...

* La poissonnière de Morlagorjh !!!! Ah non... Ah non, c'était pas ça... Euh... Un de mes conquêtes peut-être ? Le nièce de l'ancien roi elfe ? Ah non c'st pas une elfe... Euh... Hey !!! Mais si je sais !!!! *

- Alycleia !!! S'excalma-t-il l'air heureux d'avoir découvert son identitée. Cassiopée ! C'est toiiiiiiiiii !!! J'ignorais que... Enfin peu importe.

Il ignorait qu'elle avait siurvécu mais ce n'était pas très poli à son sens de lui rappeler un tel épisode.

La jeune femme haussa un sourcil et le regarda d'un air hautain.

- Je m'appelle bien Cassiopée mais je ne sais pas qui est cette Alycleia dont vous parlez.

Elle le jugea un court moment.

- Si vous êtes bien le prince du Royaume de Rhéor, j'aurais à vous parler à vous et à votre frère. Mais hors d'ici, ce lieu m'est hostile...

Elle faisait allusion aux Dieux vénérés à Djaam.

L'un des deux corbeau, les yeux fixés sur Elendhal, poussa un croassement rauque.

Le prince aimait beaucoup de chose (si, si ! ) mais pas se faire dicter sa conduite.

- Si vous devez parler faites le sur le champs. Et sachez que je ne tolérerai pas que vous puissiez blasphémer dans ce temple même.

Son regard prit une dureté terrible et sa voix se fit un sifflement pour achever ces mots. Puis, son air se refit indiffrent et il demanda vec un sourire :

- Serait-il possible que vous ne vous connaissiez pas vous même ?

Il se souvenait de cette gamine, de son visage appeuré alors qu'il la ravageait, de sa détermination à se débarasser de sa vie ensuite... Et sa propre charité de lui passer la lame au travers du corps.

La jeune femme éclata d'un rire d'une pureté cristalline.

- Mais peut être que c'est vous qui vous fourvoyez, sire.

Elle reprit son calme mais garda un sourire moqueur sur ses lèvres fines.

- Mon nom est Cassiopée, certe, mais c'est la première fois que nous nous rencontrons. Je suis la Princesse de Gwathkemen, le royaume des ombres.

Son regard prit une toute autre teinte. Cet homme l'interessait fortement. Elle était quasiment certaine qu'il s'agissait de ce prince. C'était lui qu'ilfallait qu'elle voit.

- Mais... Le prince était sceptique.

Il l'observa. Elle n'avait pas une seule cicatrice aux poignets. Et pourtant les lames... Enfin peu importe. Cette fille n'était pas Alycleaia bien qu'elle le soit sans le savoir ! (ne pas chercher à comprendre, c'est débile)

Oh, ce rire !!! Ce rire ! Cela n'avait rien à voir avec la petit gamine voleuse et menteuse qu'il avait violée puis tuée. Sans aucune trace de méchanceté dans le regard, il la fixa et lui tendit son bras après avoir déclaré :

- Royaume des ombres ? Connais pas ! Sortez donc avec moi que nous parlions des affaires qui vous amènent à moi.

Avait-il zappé son frère ? Et bien, de toute évidence, oui.

Elle accepta son bras et tout deux sortirent. Un des corbeau les accompagna, l'autre resta dans le temple pour surveiller l'autre prince.

Une fois à l'extérieur du temple et après avoir descendut les marches, Cassiopée lacha le bras d'Elendhal.

- Ainsi donc vous ne connaissez pas Gwathkemen ? C'est une contrée au Nord... on le surnomme aussi le royaume des légendes.

Elanor sortit de l'ombre pour voir le Prince sortir en compagnie de cette femme à la beauté envoutante. La jeune Elfe était perdue dans ses pensées ... la Princesse de Gwathkemen, le royaume des ombres avait-elle dit.

- Toujours fidèle à lui même.

Elanor tourna la tête vers l'auteur de ses paroles, le Prince Aranhel qui regardait les portes du Grand temple, sortie qu'avait emprunté son frère. Elanor ne savait que penser de ces dernières paroles, le doute s'insinuait lentement en elle.

- Chassez le naturel, il revient au triple galop, surtout avec lui.

Puis il se tourna vers la prêtresse. Ely serrait les points rageusement puis elle tourna vivement la tête vers le corbeau qui le regardait fixement. Elle ne vit pas le Prince sortir pour rejoindre son frère, perdue dans ses pensées puis elle alla rejoindre les autres prêtres.

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Aranhel descendit les marches pour rejoindre son frère et cette femme si étrange, et si belle. Il perçut alors des derniers mots de la prêtresse.

- Mon frère n'estimait pas important de connaitre son pays et ses voisins, préférant aprendre à guerroyer ... ou à fricoter, au choix.

Il s'inclina devant elle respectueusement.

- Je suis le Prince Aranhel

Elendhal sembla très mécontent que son frère intervienne dans la conversation avec la demoiselle.

- Je sais très bien que tu t'appelles Aranhel ! Déguerpis ! Ah oui et au fait, si j'étais trop occupé à apprendre à me battre, je crois m'être rattrappé cer je contrôle la moitié des jolis pays que tu vantes de connaitre !

Il tapa capricieusement au sol de son pied avec son air boudeur et se mit à pousser son frère popur qu'il s'en aille.

- Je l'ai vue en premier elle sera donc MON alliée ! Vas donc te faire ami avec les fées puisqu'elle t'adore et qu'elle font des pétitions anti-elendhal... Y'a que elles que tu puisses encore rallier à toi ! Vas-t-eeeeeeeennnnnn !!!!!

Il fit la lippe et arbora sa mine de gamin posséssif.

Aranhel leva les yeux au ciel mais le sourire persistait sur ses lèvres.

- La vantardise n'est pas mon rayon. Celà te convient mieux.

Le comportement de gamin pourri gâté amusé beaucoup Aranhel, surtout qu'ici, il ne pouvait rien faire. En tout cas, il ne pouvait pas se battre au riste de contrarier les prêtres et prêtresses d'Ephyris. D'ailleurs, il venait d'en quitter une qui ne paraissait pas très heureuse.

- Tu es pathétique !

Puis il passa à coté de lui, descendant les marches du temple pour vaguer à d'autre occupation, mais avant, il se retourna vers la jeune femme.

- Si vous en avez marre de son comportement capricieux, n'hésitez pas.

Il lui fit une dernière révérence avant de leur tourner définitivement le dos.

Elendhal fit un sourire triomphant en voyant son frère s'éloigner :

- Je ne suis pas du tout pathétique ! Et je suis peut-être vantard mais c'est moi le plus fort !!! C'est le moi qui ai conquit le plus de royaumes et c'est moi qui aurait le trône !!!! Haha !!!

Il regarda la prêtresse et lui attrapa la main comme pour la retenir pour ne pas qu'elle s'en aille.

- Resteras-tu, Cassiopée ?

Son regard était bon et franc : il voulait qu'elle reste et qu'elle lui avoue la raison de sa venue ici, sur des terres sacrée par des dieux qu'elle détestait.

Un sourire amusé fit trésaillir les lèvres de la demoiselle quand les deux frères se parlèrent. Elle ne venait pas pour une alliance, pas encore. D'ailleur elle ne savait même pas exactement pourquoi elle était là.

Elle répondit par un sourire charmant à la révérance d'Aranhel avant de se retourner vers Elendhal qui lui prit doucement la main.
Toujours avec ce regard moqueur, elle lança :

- N'est ce pas un peu tôt pour me tutoyer, sire ?

La jeune magicienne le jugea un instant encore. Pourquoi devait-elle voir ce prince ? Etait-ce bien lui et non l'autre ?

- Je resterais. Peut être..., fit-elle d'une voix légèrement mystérieuse.

Le prince Elendhal ignora le "peut-être" et se satisfit donc de sa réponse.

- Trsè bien !!! Cassiopée, ma jolie, pourquoi ne devrais-je pas te tutoyer ? Je te connais après tout ! D'ailleurs... Je peux te dire que tu as une petit tache de naissance sous le sein droit ! Est-ce que je me trompe ?

Sourire carnassier. C'était le cas d'Alycleia en fait. Il s'en souvenait car chaque parcelle de ce jeune corps était resté gravé dans son esprit.

- Enfin... C'est peu important. L'idée serait plutôt... Est-ce que vous voudriez unir nos deux nations ? Nous pouvons faire une alliance !!! Je suis en guerre, il est vrai, mais je pourrais très bien trouver une contrepartie à la participation de vos armées à mes massa...euh... à mes batailles ! Enfin... Aprsè ce que je vous ai fais je comprendrais que...

Cassiopée haussa un sourcil interrogateur à l'évocation de la tache de naissance. Comment cet homme qu'elle n'avait jamais vu pouvait bien être au courant ?
Enfin, là n'était pas le problème...

- Ce n'est pas une raison pour manquer de respect à une personne de même rang que le votre.

Elle le fixa froit dans les yeux.

- Quant à votre alliance, j'y réfléchirais mais sachez que mon peuple n'a pas mené de guerre depuis plus de cent ans déja... Nous ne vivons pas à Djaam et ne vénérons pas ses Dieux. Je ne pense pas qu'une alliance puisse y changer quelque chose...

Elendhal sentit son affaire cafouiller... Avait-il dit quelque chose qu'il n'aurait pas dû ? Cette histoire de tâche de naissance peut-être ?

- Jaammmmmaaaaais !!! Je dis bien jamais je n'oserai vous manquer de respect !!!! Surtout si vous être vraiment souveraine d'un royaume... Mais dîtes moi... Vous ne connaissez vraiment pas Alycleia ? Oh... La pauvre gamine... J'aurais mieux fait de la garder !

Il fit une moue auto-desprobatrice.

- Réfléchissez bien à mon offre, mes terres sont plus riches qu'elles ne le paraissent...

Cassiopée releva la tête avec arrogance, enfin il se mettait à la vouvoyer...

- Je ne sais pas qui est cette Alycleia à qui vous m'assimilez constamment... et sachez que je n'ai pas de soeur jumelle.

Un sourire moqueur s'afficha sur ses lèvres.

- Vos terres sont riches ? Tant mieux pour vous, Elendhal. Les miennes le sont aussi mais ce ne sont pas les mêmes richesses que nous cultivons... Néanmoins ce voyage m'a épuisée, je pense que nous pourrons mieux parler "affaires" plus tard et en de meilleurs circonstances.

Elendhal haussa les épaules. Quelle mauvais volonté !

- Enfin, allez donc vous reposer ! Mais n'oubliez pas de me dire un jour pourquoi cce voyage justement.

Il se détourna et revint vers le temple pour fricter avec sa pretresse préférée.

- Eeeeeeeeelaaaaaaaaaaaaanooooooooooooooooor !!!!!!

Il bondit sur elle et plaqua un baiser sur sa poitrine visable au décolleté avec un air de monstre affamé de chaire innocente sous le regard de... son frère qui s'en était retourné au temple. Elendhal ne semblait pas avoir remarqué sa présence. Il se serait peut-être abstenu de révéler son idylle sinon...

Et le prince se prit un plateau en or massif sur la tête, plateau qu'Elanor avait brutalement abattu sur la tête d'Elendhal. Ce vaurien, ce gamin pourri gâté, il fricotait avec la première femme venue et elle était censée ne rien dire ?

Et en plus il s’était jeté voracement sur sa poitrine ... il était dans un temple. Flute et zut. Elle était on ne peut plus furax et rebelle, un peu comme avant leur histoire, quand il l'avait forcé à venir à Fatarholm Anor. Enfin bref ... elle ne semblait pas de très bonne humeur.

- Vous désirez peut être quelque chose ... sire ! dit-elle les dents serrées, sans lâcher son plateau, arme ridicule, il fallait l'avouer. Mais quand même.

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Aranhel avait des yeux comme des soucoupes, embrasser ainsi la Grande Prêtresse d'Ephyris ... mais bientôt, il se retint de rire quand il se prit un plateau sur la tête. Voyant qu'Elendhal en avait terminé avec la jeune femme, La Prince d'Andar sortit du temple et descendit rejoindre Cassiopée.

- Pardonnez mon rustre de frère. Il oublie souvent de tourner six fois sa langue dans sa bouche avant de parler.

- AAAAAOOOOOUUUCHHHH !!! Mais qu'est-ce qui te prend, Elanor ???

Il se frotta le crâne avec un gtrimace de douleur. Il allait avoir une royale bosse au sommet de son royal crane.

- Mais... Me dit pas que t'es jalouse ? Cette princesse ne m'interresse pas du tout !!!! Je t'ai dit que je t'aimais, bon sang ! Et tu ma tapais pas avec un plateau là bas derrière les colonnes !!!

Il croisa, les bras, s'assit au sol en tailleur et se mit à bouder.

- Marf.... Les femmes alors...