Ennui royal...

Elendhal était affalé sur son trône. Il observait ses ongles. La moindre petite tache et il piquerait une crise. Mais non, tout était parfait.
Il balaya son entourage des yeux, cherchant une poussière, même la plus ridicule. Mais rien. Le sol de marbre de la salle reluisait et totu étaqit parfait. Pas de désordre, pas de saleté.

Il fit une grimace. Les gardes, sur ses ordres, patientaient dehors. Oui, il avait trouvé qu'ils gachaient la beauté et la perfection de la pièce. Aussi, il était seul. Il se mit a taper du pied contre son trône.

BANG... BANG... BANG...

Et toujours rien. Un silence obstiné.

Bong sang ! Qu'est-ce qu'il pouvait s'ennuyer !

Elanor était dans la frteresse de Fatarholm, à son plus grand désespoir. Jamais elle n'y serait allée de son plein gré. De force, elle fut emmenée par deux gardes robustes qui la retenaient fermement. Elle avait beau se débattre, rien n'y fesait, ils ne lachaient pas prise. Au loin, elle entendit de grand coup, comme si quelqu'un tapait du pied dans le silence le plus total.

Finalement, ils arrivèrent devant deux immenses portes qui s'ouvrirent, laissant apparaitre une salle immense, sans défaut, parfaite, et au centre, confortablement installé dans un trône, se tenait le prince Elendhal. Le regard de Ely se fit plus dur, la haine se lisant dans ses yeux. Elle se débattit encore plus et en profita pour écraser le pied du garde, lui arrachant un cri de douleur.

Le prince tourna lentement la tête vers les deux gardes qui avat osé le tirer de son ennui. il les foudroya du regard puis devient plus doux lorsuqe ses yeux tombèrent sur... l'elfe. C'était elle. Celle qu'il fesait rechercher depuis quelques temps.
Elle était bien jolie, toute frêle, mais rebelle. Il s'approcha, s'appréta à lui parler, mais il un trou de mémoirr lui ravit son nom de la langue. Il gromela, fit quelques pas vers son trone et revint vers elle.

" Elanor Amonlë ! C'est un plaisir de voir que vous nous comblez de votre présence à Fatarholm Anor ! Vous êtes la bienvenue ! "

Il paraissait presque désinterressé.

Ely serra les poings et dégagea son bras de m'emprise d'un garde. Elle le massa quelques instants avant de reporter son regard froid sur le prince.

- Plaisir non partagé ! dit-elle les dents serrées. Maintenant, auriez-vous l'amabilité de me laisser sortir d'ici, cracha t-elle presque.

Elanor n'aimait pas rester ainsi, être enfermée était pour elle une douce torture. Elle aimait vagabonder librement en terre de Djaam, la liberté, elle lui était nécessaire. Elle devisagea Elendhal sans gène, son visage exprimant presque de la répulsion pour ce prince.

" Oh !!! Vous n'aller pas nous quitter si vite ! "

Il fit un sourire amusé.

" Il se trouve que j'ai quelques projet pour vous... "

Il partit en sautillant s'afaller sur son trone. Il fit signe aux gardes de partir et de surveiller toutes les issus. Il resta seul dans la grande salle silencieuse avec l'elfe.

Elanor ne bougea pas d'un cil. Elle resta droite et fière, insolante aux yeux du prince. Il était tellement immature et ... elle ne trouvait pas les mots pour exprimer sa répulsion. Elle se retourna pour voir les gardes fermer la porte scrupuleusement en faisant attention à se qu'elle ne claque pas trop bruyamment.

- D'autres projets ? Désolée mais je ne suis pas intéressée.

Elle se dirigea vers l'une des portes et tenta de l'ouvrir sans résultat. Impossible pour elle de s'enfuir, les gardes étaient postés à toutes les portes, sauf une derrière le trône. Ely avait le regard fixé sur cette porte. Pourrait-elle y arriver ? Qui ne tente rien, n'a rien mais elle devra attendre le bon moment.

" Mais je ne te veux pas de mal !!! " Soupira-t-il en s'affalant un peu plus et en tripotant sa couronne.

Il tourna vers elle son visage boudeur et capricieux.

" D'ailleurs, j'aimerai que tu aille au sanctuaire et que tu mènes les miens dans les rituels d'offrande. Si je tire les dieux de mon côté, j'aurai plus de chance de gagner. "

- Et si je refuse ...

Elle se rapprocha du trône, et donc de Elendhal. Elle se retrouva à quelques mètres de lui.

- A ce que je sache, je ne suis pas à votre service. Je n'ai pas à exécuter vos demandes capricieuse.

Sur ce coup là, elle aurait peut être du se taire. Elanor n'avait qu'un seul gros problème, elle était trop franche, elle disait ce qu'elle pensait sans retenue.

Il lui sauta dessus et il se retrouva à cheval sur elle, tous deux au sol. Il lui aggripa les poignets et la força à rester au sol. Il commença par la frapper de son poing dans la cage thoracique de manière à l'empêcher de respirer. Puis alors que la douleur la paralysait encore, sa tête descendit jusqu'à sa gorge, remonta à son oreille et il y murmura :

" Oh si... Tu feras ce que je veux... J'y compte bien... "

Il déposa un léger baiser en bas de sa joue, à portée de ses lèvres.

Ely ne vit pas le coup venir. Elle avait le souffle coupé et elle ressentait peu à peu la doleur grandir dans sa poitrine, mais elle fut encore plus effrayée quand elle vit le visage d'Elendhal se rapprocher lentement du sien. Elanor détourna la tête en sentant les lèvres du prince se poser au coin des siennes. Elle avait encore du mal à respirer à cause du coup qu'elle avait recu. Mais elle était détemrinée à lutter même si la peur lui tirallait le ventre.

Elanor retourna alors brusquement la tête vers lui, ses yeux lançant des éclairs. Sa fureur était palpable, tout comme sa peur. Elle lui balança alors un coup de genou dans le ventre.

- Je ne suis pas un de vos larbins, dit-elle en se débattant furieusement.

Il fit une grimace avec le coup puis grommela :

" Et c'est un de mes problèmes justement... "

Il s'approcha d'elle, la captura à nouveau de ses bras, mais cette fois se contenta de l'avoir contre lui. Il regarda en bas vers son visage.

" Ne cederez vous donc pas ? "

Lorsque leur peau rentra en contact, Ely eut une vision furtive certe mais celà lui suffisait pour prendre toute ses forces. Ses jambes tremblèrent et elle tomba à genou au sol, se tenant la tête. Elle était épuisée, chaque vision puisait dans ses forces.

Ely avait du mal à respirer, en plus du coup de tout à l'heure. Toujours en se tenant la tête, elle releva la tête vers Elendhal. Elle voyait de plus en plus flou. Elle avait du mal à disserner les traits du prince.

- Non ! Je n'obéis à rien ni personne ! dit-elle difficilement mais on pouvait sentir à sa voix qu'elle ne changera pas d'avis.

Il fit une moue.

" Je laisserai le temps faire dans ce cas. "

Il la gifla sans aucune pitié et remonta sur son trône.

" GAAAAAARRRRRDDDDDEEEEESSSSSSSS !!! "

Cinq hommes entrerent.

" Emmenez la aux cachots ! "

Elanor se laissa emporter, n'ayant plus la force de résister.

- Le temps n'arrangera rien ! Je ne changerais pas d'idée.

Elle perdit conscience dans le dédale de couloir pour reprendre ses esprits dans un cachots froids et humide.

Elle tenta de se réchauffer mais sans effet. Ely se releva et s'approcha de la grille et de la serrure. Un garde était posté à l'entrée, surveillant les moindres faits et gestes de l'elfe. Elle s'accrocha aux barreaux de sa cellule en fixant le garde. Peu à peu, ses prunelles grises virèrent au noir intense. Ses lèvres remuaient rapidement, récitant une incantation ancienne. Dès lors, le gardien ne pouvait plus respirer, il manquait d'air et ses yeux prirent une couleur sang. A la fin de la litanie, la garde se releva, possédé par un esprit qui n'était pas le sien, celui d'une personne de l'au-delà. Il s'approcha de la porte qu'il dévérouilla, permettant à Ely de sortir.

Elanor courut et à mesure qu'elle s'éloignait, le garde reprenait ses esprits. L'alerte fut donné de la fuite de l'elfe. Elle avait atteint les grandes portes, enfin, la liberté l'attendait. Elle courut un peu plus vite.

Quand le prince appris que l'elfe s'était volatilisée dans la nature, il fulmina de rage et les trois gardes chargé de sa garde furent comdamnés à mort et mis au cachot illico.

- RETROUVEZ LA !!! INCAPABLES !!! IMBECILES !!! ABRUTIS !!! .... ( j'en passe et des meilleures... )

Puis il démarra une bouderie royal.

( sayonara ! XD )

Elanor ouvrit les portes qui firent un bruit à réveiller les morts. Voyant celà, elle se dépécha de sortir, piqua un cheval et démara au quart de tour. Elle quitta la forterresse d'Elendhel. Au loin, elle vit le dit prince à la fenêtre.

Le prince lui fit une grimace et se remit à bouder sur son trône.

( Quel Prince charmant ! XD)

( XD )

( Crise de nerf : JE SUIS LE PRINCE CHARMANEEEEUUUUUUUTTT !!! )

( mais oui, mais oui ^^ ( éloignons nous sans qu'il le remarque, sans aucun bruit en essayant d'éviter tout contact visuel...) XD)

Le prince recommença à s'ennuyer. Il n'avait que ça à faire de toute manière.
Bouder... Gouverner... S'ennuyer... Bouder... Gouverner... S'ennuyer... C'était toujours désespérément la même chose... Bouder... Gouverner... S'ennuyer... Bouder en gouvernant... S'ennuyer... Bouder... Gouverner d'ennui... Bouder... Governer... Bouder d'ennui en gouvernant...

Bref. Notre prince avait une existence où trouver une poussière était une grande péripétie.

Quelque part... Ce n'est presque pas de l'ironie !

Mais pour l'instant, il n'y avait aucune poussière dans la salle du trône. Aussi, le calme, la bouderie et l'ennui régnaient.

Au bout d'un moment, Elendhal demanda un parchemin pour concrétiser une idée qui lui trottait en tête depuis un moment.

" Chère princesse elfe,"

Il machouilla sa plume.

" Je désire vous rencontrer et parler d'affaires royales donc je veux vous voir et patati... Et j'abrège par des patata... Parce que j'ai autre chose à faire que de vous écrire. "
Il n'avait jamais aimé écrire. D'ailleurs, les activité intellectuelles qu'il aimait se comptait sur les doigts d'un main. Aucune importance. De toute manière il était exécrable pour s'exprimer de tout les plans qui soient.

" Et si ça vous déplait je ne m'en excuse pas parce que j'en ai marre de ces lois de bonne conduite qui me casse les... Bref. Choisissez, soit vous venez, soit je viens. Si vous venez, veuillez me le faire savoir au plus vite que je prépare la venue de votre monstrueux cortège elfe avec tout vos super copains. Si vous préferez que je vienne, je le ferai de manière rapide et simple. "Rien de mieu pour emmerder le monde que critiquer les elfes. Surtout qu'on a des alliés direct : les nains.

" Au plaisir de vous apprendre la simplicité humaine. "

Il se trouvait tellement narquois.

" Bisous. "

Oui... elle était sexy...

" Elendhal. "

Son prénom était une des rares choses qu'il ne rechinait pas trop à noter.

Il cella le parchemin de son sceau et envoya la missive avec empressement. La lecture de la réponse l'aiderai probablemet à briser son ennuie. Il soupira : qu'est-ce que c'était dur une journée de travail...

Invité

Daïn avait fais un voyage de plusieurs kilomètre et s'était perdu dans les montagne avant de trouver la forteresse.
Une fois qu'il réussi a entré il se dirigea vers la résidence du prince.

"Cher prince j'ai remarquer que vous avez envoyer un espion chez moi, a quoi bon?"

Elle avait voyagé depuis près de huit heures sans pause et elle était exténuée. Elle s'arrêta devant les immenses portes de la forteresses et mis enfin pied à terre.
Elle grimaça un peu en voyant les soldats surarmés qui la gardaient.

- Je désire voir le Prince Elendhal ! Je suis Andoriel Elenion Numenya, Princesse de Rivenlor du Royaume Sylvestre.

Impressionnés par son titre ( et sûrement aussi par sa beauté), les gardes acceptèrent de la laisser passer et l'un d'eux se proposa pour la mener au Prince. ^^
Elle le remercia, et ils se dirigèrent jusqu'à une immense salle de trône.
Absolument im-pe-ccable. Elle même était parfaitement nette ( elle savait que le prince était connu pour être terriblement maniaque alors elle avait pris soin de se recoiffer en chemin)
Là, elle le vit : brun, ténébreux, mèches devant les yeux, affalé sur son luxueux trône, le poing appuyé sur la joue, l'air boudeur.

Elendhal s'affala un peu moins, à la vue du roi nain. Et à l'arrivée de la princesse elfe, un sourire éblouit para son visage et jamais on ne le vit se tenir aussi droit.

" Je... (flash beauté, prince éblouit)... Je... ( encore un )... Euh... (cerveau perturbé )... Vous avez rapidement répondu à ma lettre ! Euh... (cherche la suite )... J'en suis nav... Euh ! Ravi !!! J'ensuis ravi !!! "

Il évita de la fixer directement car il se sentirais mal à l'aise.

" Roi nain ! Ma deumeure est la vôtre. Nous nous entretiendrons dans quelques instants. "

Il examina ses invités, l'un poussiéreux qu'il voyait disparaitre de sa vue avec soulagement, l'autre parfaite. Ou presque...
Il remarqua un brin d'herbe dans ses cheveux. Il se leva, s'approcha d'elle et saisit le détail, le laissa tomber et claqua des doigts.
Un orc en soubrette (XD) sortit d'un petite porte et enleva la chose "sale" pour partir l'exterminer plus loin.

Le prince tendit sa main et prit celle de la princesse.
" Puis-je ? " Demanda-t-il en bloquant ses lèvres à quelques centimètre de la peau blanche.